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Green Yuzu Hand Soap
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CHO NATURE - 300 mL

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Green Yuzu Hand Soap

Sale price€15,90

Objective : a zest of freshness in the palm of your hands.

A liquid hand soap with the scent of our Green Yuzu, to put in your bathroom, kitchen or toilet.

Its soft lather gently cleanses while respecting the skin's balance. The lemony freshness of our Green Yuzu fragrance invites you in like a breath of summer air, sparkling and refined. It transforms each wash into a sensory ritual that fills the room with fragrance. It leaves a fresh, lemony memory of summer gardens.

A simple ritual that awakens the senses and delicately perfumes the skin with freshness and elegance.

Scent : Green Yuzu Eau de Parfum

Skin type : All skin types

Formula: 98.7% ingredients of natural origin

Volume : 300mL
Green Yuzu Hand Soap
Green Yuzu Hand Soap Sale price€15,90

Features

  • Le geste C-H-O

    SENTIR :  versez le savon dans vos mains et respirez le profondément. Laissez agir les parfums bienfaisants.

    COMMUNIQUER : Frottez vos mains entre elles et faites mousser le savon. Insistez entre vos doigts et descendez sur les poignets. Puis rincez abondamment.

    SENTIR : Terminez en respirant les paumes de vos mains. Nos formules et nos gestes sont élaborés afin d’optimiser leur efficacité physique et psychique.

  • Ingrédients

    Produit composé de 98,7% d'ingrédients d'origine naturelle (le parfum est en partie synthétique).

    Aqua (Water), Sodium Coco-Sulfate, Coco-Glucoside, Coco-Betaine, Glycerin, Parfum (fragrance), Sodium Benzoate, Citric Acid, Potassium Sorbate, Sodium Chloride, Limonene, Linalool, Geraniol

  • Poème "Mains" de Paul Verlaine

    Ce ne sont pas des mains d'altesse,
    De beau prélat quelque peu saint,
    Pourtant une délicatesse
    Y laisse son galbe succinct.

    Ce ne sont pas des mains d'artiste,
    De poète proprement dit,
    Mais quelque chose comme triste
    En fait comme un groupe en petit ;

    Car les mains ont leur caractère,
    C'est tout un monde en mouvement
    Où le pouce et l'auriculaire
    Donnent les pôles de l'aimant.

    Les météores de la tête
    Comme les tempêtes du coeur,
    Tout s'y répète et s'y reflète
    Par un don logique et vainqueur.

    Ce ne sont pas non plus les palmes
    D'un rural ou d'un faubourien ;
    Encor leurs grandes lignes calmes
    Disent : " Travail qui ne doit rien. "

    Elles sont maigres, longues, grises,
    Phalange large, ongle carré.
    Tels en ont aux vitraux d'églises
    Les saints sous le rinceau doré,

    Ou tels quelques vieux militaires
    Déshabitués des combats
    Se rappellent leurs longues guerres
    Qu'ils narrent entre haut et bas.

    Ce soir elles ont, ces mains sèches,
    Sous leurs rares poils hérissés,
    Des airs spécialement rêches,
    Comme en proie à d'âpres pensers.

    Le noir souci qui les agace,
    Leur quasi-songe aigre les font
    Faire une sinistre grimace
    A leur façon, mains qu'elles sont.

    J'ai peur à les voir sur la table
    Préméditer là, sous mes yeux,
    Quelque chose de redoutable,
    D'inflexible et de furieux.

    La main droite est bien à ma droite,
    L'autre à ma gauche, je suis seul.
    Les linges dans la chambre étroite
    Prennent des aspects de linceul,

    Dehors le vent hurle sans trêve,
    Le soir descend insidieux...
    Ah ! si ce sont des mains de rêve,
    Tant mieux, - ou tant pis, - ou tant mieux !